Bibi
Bibi il s´appelle Bibi
Non y a pas d'lobby,
C´est un facho pas comme les autres
Il se défend, c'est pas sa faute
Sous le phosphore blanc,
aucun enfant n'est innocent
Bibi il s´appelle Bibi
Il invoque le messie,
Pour purger la terre du peuple élu,
c'est l'épuration ethnique continue,
70 ans d'négo dans l'impasse,
Israel conduit au Hamas
Pour s'étendre un colon a besoin
de zizanie chez ses voisins,
de mercenaire comme copain
Merci l'OTAN et les services secrets,
d'avoir massacré, la Libye,
l'Irak,
la Syrie
Bibi il s´appelle Bibi
Le chaos comme stratégie,
met~en~route des millions d'immigrés
Les mêmes réseaux nous disent de les intégrer
On dirait~qu'ca s'inscrit
dans la plus raciste des suprématies
Un jour l'capital aura dissous les nations,
l'argent pour toute communion,
sans frontière, l'marché planétaire.
Dominées par un état mondial,
Jérusalem serait la capitale,
C'est la rêverie d'Attali
Bibi il s´appelle Bibi
Il confessionalise le conflit,
C'est une alliance pas comme les autres,
pétromonarque, occident et apôtres,
Ils nous prennent pour des pions,
dans leur choc des civilisations
L’AN GUIGNE
1-Tu n’étais pas ‘cor né que tu sentais l’embrouille
Tu pouvais pas rester,ça te foutait la trouille
Pourtant t’étais au chaud,dans l’ ventre de ta mère
nourri,logé, trop beau Vingt Dieux la belle affaire
2-Tu n’avais pas 7 ans que tu sentais l’anguille
encore pas toutes tes dents,tu sentais qu’ça frétille
Tu voyais bien les chiens,parfois se monter d’ssus
Tu n’y comprennais rien,quand y’sse reniflaient l’cul
3-t’étais encore pubère,arrivée dans la ruche
au lycée, quelle galère,y’avait plein de greluches
Dans la cour de récré,tu savais plus quoi faire
Alors tu discutais, matant sans avoir l’air.
4-Quand t’as grandi un temps,un peu moins que les autres
Qu’t’as pas les arguments,pour jouer les bons apôtres
Tu choisi la liberté,loin des chapelles et des mosquées
Tu les laisses s’enfiler,t’as d’autres chats à fouetter
5-Tu voulais t’y marié,tout seul c’est pas facile
Cherchais une fiancée,qu’aimait bien jouer aux billes
Y faut bien qu’on transmette,sinon y’aura plus rien
Rien dans la camionnette et dans l’écuelle du chien
6-Si l’amitié parfois te réchauffe le coeur
Ne compte que sur toi,pour trouver le bonheur
Prends ta guitare mon gars,chante avec les oiseaux
Va au Balabala,commande l’apéro
7-T’avais pas cinquante ans,que tu changeais d’pays
Voir si c’est plus charmant,ou k’c’est -y k’c’est l’paradis
A pêcher dans le lagon,admirer les baleines
Loin d’leur quêtes de pognon,et d’leur culrutre de haine
7-Si tu entends souvent,et ça te rends bien triste
tous ces cerveaux vacants chouinants comme des wokistes
20 mots d’vocabulaire,et toute cette mise en scène,
Pauvre bouffons sectaires finiront en Ukraine.
Allô
Ecoute, papa est près de toi
Il faut lui dire “papa, c’est quelqu’un pour toi”
Ah, mais c’est Patrick, encore toi?
Bon, je vais le chercher
Je crois qu’il est sous la douche
Et je ne sais pas s’il va pouvoir venir
Dis-lui, je t’en prie, dis-lui c’est important
Et il attend
Dis, tu lui as fait quelque chose à mon papa?
Il me fait toujours des grands signes
Et il me dit toujours tout bas: “fais croire que je ne suis pas là”
Raconte-moi, il y a bien une raison
Pourquoi je ne peux plus faire plus de deux chansons
Oh mais j’en sais rien moi
C’est mon papa qui décide d’abord
C’est lui, le grand chambellan
Dis, tu m’dessines un mouton?
Oh, dis-lui que j’ai mal
Si mal depuis 6 mois
Dès la reprise c’est comme ça
Oh non, c’est que depuis 3 mois
Tu veux pas un peu le lâcher mon papa?
Il veut plus te voir
Tu restes là hein?
Le goguettier, il pleure, quand l’aut’ ne vient pas
Quand je lui crie “goguette”
Les mots se meurent dans l’écouteur
Le goguettier, il pleure, ne raccroche pas
Je veux y croire, encore, moi j’en veux trois
Penses-tu qu’je peux lui écrire un mail?
Ou peut-être même un texto?
Tu aimes les bonbons?
Oh oui, j’adore les bonbons
Mais t’es qui pour proposer ça à un enfant?
Ca va pas la tête?
Tu m’le dessines mon mouton?
Oh dis-lui toute ma peine
Combien, oui tous les deux, moi je vous aime
Tu nous aimes?
Mais c’est quoi le rapport?
T’essaierais pas de m’amadouer pour qu’j’intercède auprès d’mon père?
Mais tu pleures? Pourquoi?
Oh le goguettier, il pleure, quand l’aut’ ne vient pas
Quand je lui crie “goguette”
Les mots se meurent dans l’écouteur
Le goguettier, il pleure, non ne raccroche pas
Je veux y croire, encore, moi j’en veux trois
Dis, écoute-moi
Oui, le goguettier, il pleure, passe-lui ma requête
J’peux faire au moins chanter l’hymne de la goguette?
Dis mais retiens-le
Mais il s’en va
Allons insiste
Il est parti
S’il est parti, alors tant pis…
Moi, les souvenirs et tout ce qui évoque le passé ,je m’évertue à oublier ou au moins à ne pas y penser mais en écrivant cette goguette j’ai replongé dans les tubes qui ont ponctué ma jeunesse et qui sont ressortis pour contre dire tout ce que je vais vous chanter maintenant
-
Je ne suis pas nostalgique,
ni même mélancolique
J’oublie tout et c’est pratique
Pas question de faire l’historique
-
Il y en a qui encensent
Tous leurs souvenirs de vacances
Moi j’vous dis que j’m’en balance
Plus jamais je n’y pense
Plus jamais je n’y pense
Même si c’est pas tendance
-
Pas de souv’nirs de mes poupées ni même de ma puberté
Je regarde le temps passer
Et pas question de reculer
-
Il y en a depuis la naissance
qui embellissent leurs expériences
Moi j’vous dis que j’m’en balance
Plus jamais je n’y pense
Plus jamais je n’y pense
Même si c’est pas tendance
Pas question de ressasser
Toutes ces conneries démodées
Encore moins de s’extasier
devant la beauté du passé
-
Il y en a qui repensent
Au bon vieux temps de leur enfance
Moi j’vous dis que j’m’en balance
Plus jamais je n’y pense
Plus jamais je n’y pense
Plus jamais je n’y pense 3x
-
J’y pense et puis j’oublie
C’est la vie c’est la vie 2X
-
Alors c’est à partir de là que çà a dérapé.Rattrapé par le passé!
En effeuillant les branches de l’arbre Dutronc(un peu de poésie ne nuit pas ) ... ou plutôt en feuilletant un recueil des chansons de JDutronc j’ai pas réussi à m’arrêter.Et quand j’ai fini, je me suis dit qu’ils étaient peut être là les meilleurs souvenirs:
dans les chansons qui sont restées !
Le monde entier est amnésique
Il a oublié cette petite musique
Dans la vie il y a des lapsus
C’est pas plus grave que des virus
Aie Aie Aie Ouille Aie Aie Aie
-
On me cache tout ,on n’me dit rien
Plus je vieillis moins je me souviens
On me cache tout ,on n’me dit rien
Plus je vieillis plus je comprends rien
-
J’ai retrouvé au petit matin
Cette goguette dans mes grands souliers
Posée devant la cheminée
Pas besoin de vous faire un dessin
-
C’est la dernière avant Noël
Je l’ai écrite tout par hasard
Ne me dites pas qu’elle est pas belle
C’est pour le bala bala bar
C’est la dernière avant Noël
Je l’ai écrite tout par hasard
Ne me dites pas qu’elle est pas belle
Bye bye au revoir à plus tard
1) Ils ont défiguré l'pays
Haies arrachées, rivières comblées
Avec leur armée d'buldozers
Les gens ont voulu résister
Ils ont même manifesté
Pour pouvoir préserver leurs terres
Les vieux disaient "faut pas tout raser
Les bêtes pourront plus s'abriter
et l'engrais ira à la mer"
Mais on n'les a pas écoutés
Déjà les plans étaient ficelés
Bien cachés dans les ministères
REFRAIN:
Pourtant, que le Bretagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
Que c'est avec le plan Marshall
Qu'ils ont commencé à la tuer
2) C'est un modèle de société
Bien sûr américanisé
Où les ploucs n'ont plus leur place
Il faut enfermer les cochons, les poules, les veaux et les dindons
Parqués dans des petits espaces
Les bourrer d'maïs et d'soja
Qui arrive d'où, on ne sait pas
Mais bien gorgés de pesticides
Et faire manger aux braves gens
Des cochonneries à prix coûtant
A la place des cochonnailles
REFRAIN:
Pourtant, la Bretagne reste belle
Comment peut-on imaginer
Que ce sont des polichinelles
Qui s'occupent de la diriger
3) Ils ne voulaient plus d'paysans
Ils préfèrent les exploitants
Mais ce sont eux qui les exploitent
Pieds et poings liés par les crédits
Ils ne sont plus qu'des ouvriers
Des gros groupes de l'industrie
La mort des petits paysans
Etait planifiée y'a longtemps
Fallait du monde chez Citroën
Et pour les gros c'est pas bien dur
De s'agrandir illégalement
Soutenus par les préfectures
REFRAIN:
Pourtant, la Bretagne reste belle
J'suis pas sûre qu'nous réalisons
Quand on s'promène dans la campagne
Qu'y plus de cochons que d'bretons
4) Eux se fichent de notre santé
Tout le monde peut bien crever
Pourvu qu'l'industrie s'enrichisse
Les subventions sont détournées
Et les cadres très bien payés
Pendant que les le plages agonisent
Mais faut quand même pas espérer
Que l'on déclare à la télé
Qu'les nitrates font pousser les algues
Moi j'en peux plus de leurs salades
Je boycotte leurs étals
Et file à "Connexion paysanne"
REFRAIN:
Surtout, faisons qu'elle reste belle
Cette Bretagne qu'on aime tant
Et apportons notre petite pierre
En sout'nant les vrais paysans
Il est temps maint’nant que je vous dise tout
A la base j’suis pas d’Redon, pas du tout
Ça peut vous paraître étrange
Mais moi je suis de Paris, ça vous dérange?
Ne dites pas que c’est des cons les parisiens
Parce que quand même ça arrive à des gens bien
Enfin bref quand on débarque
À la campagne c’est bizarre, ces bruits étranges,
Ces bruits étranges
Tous les matins chante un hibou
C’est peut-être une chouette après tout
Enfin j’y connais rien du tout
Au réveil sous ma fenêtre
Comme dans les films ça fait hou-hou
Tous les matins chante un hibou
Et le soir aussi de partout
Moi j’ai pas l’habitude du tout
Avant c’était les pompiers
Ou les klaxons qui me réveillaient
Maintenant, j’ai une maison et un jardin
J’vois des arbres et puis du vert tous les matins
Des rouge-gorges et des mesanges
J’connaissais que les pigeons, ouais ça me change…
Parce que bon, à Paris, dans les bouchons
Y en a plein, des noms d’oiseaux, à profusion
Mais c’est pas vraiment les mêmes
Et ça ne vole pas très haut, comme cette goguette
Comme cette goguette
Tous les matins chante un hibou
En tous cas c’est pas un matou
Ça je sais bien ça fait miaou
On peut être de Paris
Et reconnaître un cui-cui
Tous les matins chante un hibou
Ca aurait pu être un coucou
Oui mais bon, ça, ça fait coucou
Je n’suis pas de la campagne
On m’a dit que ça se soigne
Tous les matins chante un hibou
Et j’vois bien que tout l’monde s’en fout
Mais l’actu n’est pas gaie du tout
Et moi contre le bruit des bombes
Ben j’ai qu’un hibou, pas de colombe…
Boy, mon nom c’est Jacky
La campagne gronde, tous les gars sont d’sortie
On sort de l’ombre, faites chauffer les fusils
Et hop un petit verre de bière, de bière!
La route est longue à c’qu’on dit
L’est pas très droite après quelques demis
Comme un apache, je joue à cache-cache
Là-bas une ombre et les mecs se lâchent
Va y avoir du sport, mets-moi un demi
Va y avoir du sport, r’mets-moi un demi
Va y avoir du sport, r’mets-moi un demi
Va y avoir du sport, c’est bon c’est parti
Y va y avoir du sport, vas-y reste tranquille
Un truc qui bouge, tu vas voir c’est facile
Tu tires dedans mais pas dans le cubi
Même si tu vois plus clair, plus clair! Une bière!
Et si jamais la perdrix, roule à vélo
Ou porte un sac à dos
C’est qu’c’était pas une perdrix mon coco
Mais un blaireau sans gilet qui flashe
Va y avoir du sport, mets-moi un demi
Va y avoir du sport, r’mets-moi un demi
Va y avoir du sport, r’mets-moi un demi
Va y avoir du sport, c’est bon c’est r’parti
Y va y avoir du sport, j’pourrais faire police
J’ai le niveau, j’bois assez de pastis
J’tue pas, j’régule, c’est ça qui me stimule
Comme tout bon commissaire, c’est clair! une bière!
Plus écolo que Rousseau, j’veux protéger
La forêt, mon bistrot
Des fous qui pensent à une redevance
Pour l’gros qui tâche des chasseurs qui s’lâchent
Va y avoir du sport, ça va bien s’passer
Va y avoir du sport, ça va bien s’passer
Va y avoir du sport, ça va bien s’passer
Va y avoir du sport, ah merde, j’ai raté… Va y avoir des morts!
On peut vivre sans tendresse
Mais pas sans un sou
Des seigneurs et des princesses
Y'en a encore beaucoup
Mais vivre sans richesse
On ne le pourrait pas
Non non non non
On ne le pourrait pas
Peut on se passer de gloire
Ça je n'en sais rien
Être connu dans l'histoire
Ce serait quand-même bien
Mais vivre sans richesse
Il n'en est pas question
Non non non non
Il n'en est pas question
Que l'on soit vieux ou vieille
Ou bien adolescent
Il nous faut de l'oseille
Il nous faut de l'argent
Vraiment vraiment vraiment
Commençons dès la jeunesse
Petit à petit
A accumuler sans cesse
Tout au long d'la vie
Des voitures, des maisons
Des bijoux, des actions
Oui oui oui oui
Amassons, entassons
Et fermons nos frontières
A tous ces émigrants
Oublions la misère
Tout en nous empifrant
Vraiment vraiment vraiment
Et à l'heure de la vieillesse
Et d’nos enterrements
On guettera dans l'allégresse
Notre or et notre argent
Sans aucune tendresse
Et sans aucun tourment
Oui oui oui oui
Sans aucun sentiment